Histoires de rencards (2/3) : Anna & Pauline

“- Je suis la copine de William” “- Euh, l’ex ?”  “- Je pense qu’on a des choses à se dire, viens on va boire une bière.” 

A priori, Pauline et Anna n’ont rien en commun – à part William. Quand la première va à la rencontre de la seconde dans l’optique de régler ses comptes, elle ne se doute pas qu’elles vont en fait partager beaucoup d’autres choses.

Autour d’un verre, la question de leur trahison commune est réglée en trente minutes. La discussion qui se poursuit les plonge dans un état de fébrilité. Elles se plaisent, échangent leurs numéros, veulent se revoir et pensent beaucoup l’une à l’autre.

Au début, la surprise de l’attirance laisse place à quelques doutes : est-ce qu’il est question de vengeance ? Est-ce qu’Anna a affaire à un “couple un peu chelou” qui risque de la tromper ? Et puis, William est policier, “émotionnellement pas très stable” et “il se balade souvent armé”. Peut-être qu’il vaut mieux ne pas lui dire que ses exs se sont en fait mises ensemble. 

Comment accueille-t-on un amour inattendu ? Comment s’engage-t-on dans une relation de confiance, quand elle naît dans des suspicions ? Tous les instincts sont-ils bons à suivre ? 

Cet épisode a été écrit, tourné et monté par Marie Salah. La musique a été composée par Thomas Rozès qui a également fait la réalisation et le mixage de cet épisode. 

Maud Benakcha est la chargée de production de Passages, accompagnée de Capucine Rouault pour cet épisode.

Cet épisode est également rendu possible grâce à Maureen Wilson, responsable éditoriale de Louie Media, Marion Girard, responsable de productions, Mélissa Bounoua, directrice des productions et Charlotte Pudlowski, directrice éditoriale.

Le générique de Passages a été composé par November Ultra.

Pour que les podcasts de Louie soient accessibles à toutes et tous, des retranscriptions écrites des épisodes sont disponibles sur notre site internet. Si celle de l’épisode que vous cherchez n’est pas encore disponible, vous pouvez nous écrire à hello@louiemedia.com

Histoires de rencards (1/3) : Sarah, Paul & Maud

“Tu vois le mec au bar ? En fait, je pense qu’il irait hyper bien avec ma mère” : Voilà ce que dit Sarah à son copain en voyant Paul pour la première fois. Il lui semble familier et, elle en est sûre, lui et sa mère, Maud, sont faits pour être ensemble. C’est sur cette impression étrange que débute une rencontre plus étrange encore, une sorte de rencard familial. Sarah prend le numéro de Paul qu’elle enregistre dans son téléphone à “Paul pour Maud”. 

Le soir-même, sa mère reçoit un SMS : “maman, j’ai rencontré un homme, il est pour toi”. Maud se demande ce que sa fille a bien pu inventer encore. Finalement, l’idée germe et elle se décide à rencontrer Paul quand Sarah lui promet qu’il est un vrai “gentleman”.

Comment vit-on une rencontre amoureuse orchestrée par quelqu’un d’autre ? L’intuition d’une fille peut-elle conduire à l’amour pour une mère ? Et peut-on forcer le destin quand il s’agit d’amour ? 

Cet épisode a été tourné, écrit et monté par Marie Salah. La musique a été composée par Thomas Rozès qui a également fait la réalisation et le mixage de cet épisode. 

Maud Benakcha est la chargée de production de Passages, accompagnée de Capucine Rouault.  

Cet épisode est également rendu possible grâce à Maureen Wilson, responsable éditoriale de Louie Media, Marion Girard, responsable de productions, Mélissa Bounoua, directrice des productions et Charlotte Pudlowski, directrice éditoriale.

Le générique de Passages a été composé par November Ultra.

Pour que les podcasts de Louie soient accessibles à toutes et tous, des retranscriptions écrites des épisodes sont disponibles sur notre site internet. Si celle de l’épisode que vous cherchez n’est pas encore disponible, vous pouvez nous écrire à hello@louiemedia.com. La retranscription de cet épisode est disponible ici.

Qui est le père ?

“Je suis enceinte”. Après quelques mois sans nouvelle, Gérard reçoit une invitation d’Evelyne, son ancienne compagne. Elle lui annonce, heureuse, qu’elle est enceinte, qu’il est le père mais qu’elle ne lui demande rien. 

Evelyne n’a aucune certitude, mais elle a une envie : que Gérard soit le père de son enfant. 

L’enfant aujourd’hui est Sarah Masson et elle retrace dans cet épisode son histoire : celle de sa conception, de son enfance et de sa construction pleine de questions.

Mais qui est le père ? Que signifie “faire un enfant toute seule” ? Peut-on imposer une paternité à quelqu’un qui ne le souhaite pas ? Et que veut dire “être parent” ?

Cet épisode a été tourné, écrit et monté par Sarah Masson. La musique a été composée par Thomas Rozès qui a également fait la réalisation et le mixage de cet épisode. 

Maud Benakcha est la chargée de production de Passages. 

Cet épisode est également rendu possible grâce à Maureen Wilson, responsable éditoriale de Louie Media, Marion Girard, responsable de productions, Mélissa Bounoua, directrice des productions et Charlotte Pudlowski, directrice éditoriale.

Le générique de Passages a été composé par November Ultra.

Pour que les podcasts de Louie soient accessibles à toutes et tous, des retranscriptions écrites des épisodes sont disponibles sur notre site internet. Si celle de l’épisode que vous cherchez n’est pas encore disponible, vous pouvez nous écrire à hello@louiemedia.com

L'Ange gardien

Il était une fois l’histoire de Faty et de Myos. Deux inconnu·e·s qui se rencontrent sur Internet. Faty, collégienne, rêve d’étudier aux États-Unis pour fuir sa vie en banlieue parisienne, mais ne connaît rien au système américain. Une nuit, elle se lance et écrit une première question sur un forum. Myos, de l’autre côté de son clavier, répond. Mais qui est Myos ?

Comment peut-on faire confiance à un·e inconnu·e ? Quel lien peut-on créer avec quelqu’un·e dont on ne connaît rien ? Et à quel point peut-on changer la vie de quelqu’un·e en l’aidant ? 

Cet épisode de Passages a été tourné par Lena Friedrich. Maud Benakcha en a fait le montage. Elle est également la productrice de Passages.. Bénédicte Schmitt a composé la musique, fait la réalisation et le mixage de cet épisode. 

Le générique de Passages a été composé par November Ultra.

Cet épisode est également rendu possible grâce à Maureen Wilson, responsable éditoriale de Louie Media, à Marion Girard, responsable de productions, Mélissa Bounoua, directrice des productions et Charlotte Pudlowski, directrice éditoriale.

Pour que les podcasts de Louie soient accessibles à toutes et tous, des retranscriptions écrites des épisodes sont disponibles sur notre site internet. Si celle de l’épisode que vous cherchez n’est pas encore disponible, vous pouvez nous écrire à hello@louiemedia.com

Le retour d'un ami

Il est souvent dit qu’être en couple, ça se travaille : qu’il faudrait être patient, attentionné, faire des compromis etc. En revanche, il est plus rarement dit qu’une amitié aussi, ça se cultive. Les amitiés sont plus souvent représentées que l’amour comme étant de manière inhérente, des relations stables et pérennes. Plus rarement comme une passion ou comme “l’amour d’une vie”. Pourtant, Fabrice et Alexandre ont une amitié qui pourrait s’apparenter à un amour. Ceux et celles qui les entourent les présentent parfois comme “un vieux couple”. Rencontrés à une soirée dansante, ils se sont détestés au premier regard puis aimés. Depuis 2016, ils apprennent à se connaître à nouveau, depuis qu’Alexandre s’est éloigné après avoir découvert le chemsex, une pratique qui est devenue une addiction.

Qu’est-ce qui crée l’amitié ? Pourquoi reste-t-on ami avec quelqu'un·e ? Doit-on forcément tout accepter de l’autre ? Et comment gère-t-on l’addiction d’un proche ?

Cet épisode a été tourné et monté par le journaliste Jérôme Massela. La musique a été composée par David Sztanke et c’est Etienne Bertin qui en a fait la réalisation. Le mixage est de Jean-Baptiste Aubonnet. 

Le générique de Passages a été composé par November Ultra.

Maud Benakcha est la chargée de production de Passages. 

Cet épisode est également rendu possible grâce à Maureen Wilson, responsable éditoriale de Louie Media, à Anaïs Dupuis, responsable de productions, Mélissa Bounoua, directrice des productions et Charlotte Pudlowski, directrice éditoriale.


Pour que les podcasts de Louie soient accessibles à toutes et tous, des retranscriptions écrites des épisodes sont disponibles sur notre site internet. Si celle de l’épisode que vous cherchez n’est pas encore disponible, vous pouvez nous écrire à hello@louiemedia.com

Le bonheur des autres

Cette semaine dans Emotions, nous voulions vous faire entendre des épisodes d'un de nos autres podcasts : Emotions. Aujourd'hui, nous nous plongeons dans des histoires d'amour avec un épisode de la journaliste Adélie Pojzman-Pontay.

Tout le monde connaît la compassion. C’est, selon le Larousse, “un sentiment de pitié qui nous rend sensible aux malheurs d’autrui.” Et si on vous disait que la compassion avait une cousine éloignée et potentiellement beaucoup plus sympa ? Une cousine américaine, née dans les années 70 en Californie. Elle se veut libre, légère et révolutionnaire comme pouvait l’être San Francisco à cette époque-là. Son nom, c’est la compersion. 

La compersion, c’est le bonheur qu’on peut éprouver lorsqu’on est témoin du bonheur ou de la joie de quelqu’un d’autre. Dans cet épisode, nous partons à la découverte de cette émotion relativement inconnue, dérivée de l’empathie, et de ce qu’elle pourrait nous apporter. Nous partons d’abord en Californie pour comprendre dans quelle contexte elle est née : Tom Reichert, un ancien membre de la communauté utopique Kerista, nous raconte une séance de spiritisme similaire à celle qui aurait vu apparaître ce mot. Depuis, la compersion s’est diffusée principalement dans les milieux pratiquant le “polyamour” ou “amours plurielles” –c’est-à-dire avoir plusieurs relations intimes en parallèle, de manière assumée, transparente et consentante. C’est un quatuor amoureux –celui de Gabrielle, Laurent, Fanny et Solal– qui nous raconte comment la compersion émerge et se vit au quotidien, parfois difficilement, et comment elle coexiste avec la jalousie et la peur de l’abandon. 

Marie-Isabelle Thouin Savard, chercheuse en psychologie de l’université du California Institute of Integral Studies, Isabelle Broué, réalisatrice du film Lutine, François Simpère, ”papesse du polyamour”, journaliste et autrice du Guide des amours plurielles, décortiquent le concept et sa construction psychologique et sociale. Enfin Christophe Gautier, sociologue spécialiste du couple à l'université Paris Descartes et Katherine Aumer, une chercheuse en psychologie sociale de l’université de Hawaii expliquent comment la compersion peut modifier notre vision du couple, du rapport à l’autre et peut-être nous donner plus d’occasion pour être heureux. 

Doit-on aimer sa famille ?

Cette semaine dans Passages, nous vous proposons d'écouter des épisodes de notre podcast Emotions : un podcast dans lequel nous décortiquons les émotions grâce à des histoires (évidemment !) et des analyses de scientifiques. Cette semaine, la journaliste Milia Legasa se demande si nous sommes obligé d'aimer notre famille ?

Synonyme d’amour ou de rancœur, animée par des cris, ou plongée dans le silence, la famille, est ce lieu que l’on ne choisit pas mais que l’on croit devoir aimer malgré tout. Parce que ne pas aimer sa famille c’est renoncer au seul espace sur terre qui nous “appartient”. Le dire, “Je n’aime pas ma famille”, c’est presque un tabou et pourtant, parfois, ça ne va pas de soi. 

Dans cet épisode d’Émotions, la journaliste Milia Legasa nous partage des moments de vie de sa famille recomposée, où elle se demande parfois si on peut se forcer à s’aimer. En interrogeant Alice, elle réalise qu’elle n’est pas la seule à s’être posé cette question. En tombant amoureuse, Alice a dû accepter l’enfant de son compagnon, et a très mal vécu son rôle de belle-mère. 

Pour comprendre les mécanismes de culpabilisation que vivent particulièrement les femmes qui n’aiment pas leurs beaux-enfants et comprendre comment remédier à cela, Milia Legasa interroge Catherine Audibert, psychologue clinicienne. 

La journaliste a aussi rencontré Camille, qui à l’inverse, a été rejetée par sa belle-mère et explique l’impact que cela a eu dans sa construction d’adulte.

Elle tend également son micro à Gérard Neyrand, sociologue, qui souligne l’importance de l’amour dans le bon développement d’un enfant et explique comment, à partir de ce constat, l’injonction à aimer s’est imposée au XXème siècle. 

Quelques références sur le sujet:

  • Love Me Tender, Constance Debré, Flammarion

  • Famille recomposée l’envers du décor de Anne Chapeline, Librinova.

  • La famille recomposée : Comment répondre aux questions des enfants de Agnès de Viaris, Carnet de l’Info.

  • L’enfant de l’autre, de Catherine Sellenet, éditions Max Milo

  • Amour et crises dans la famille recomposée, Les enjeux psychiques de la recomposition familiale de Catherine Audibert, chez Payot.

Et enfin, le site internet « La Douceur des Hérissons », dont Milia Legasa parle dans l’épisode. 

Émotions est un podcast de Louie Media présenté par Brune Bottero. Cet épisode a été tourné et écrit par la journaliste Milia Legasa. L’épisode a été réalisé par Charles de Cillia. Benoît Daniel s’est occupé de la prise de son et Jean-Baptiste Aubonnet était au mix. C’est Nicolas de Gélis qui a composé le générique d’Émotions.  

Maud Benakcha est la chargée de production d'Émotions, accompagnée d’Agathe Le Taillandier et de Capucine Rouault pour cet épisode.

Ce podcast est également rendu possible grâce à Maureen Wilson, responsable éditoriale, Marion Girard responsable de production, Mélissa Bounoua directrice des productions et Charlotte Pudlowski, directrice éditoriale. 

Les amoureuses

Dans les familles, il y a les histoires d’amour qui sont racontées à chaque repas comme un conte fantasmé par les générations qui passent. Il y a les histoires d’amour cachées : les liaisons plus ou moins avouées, plus ou moins pardonnées. Et puis il y a celles que l’on essaie de cacher mais qui se pointent sur une joue, sur un œil plus brillant que d’habitude, sur un rire plus prononcé. 

Est-ce que la vision de l’amour se partage d’une génération à l’autre ? A quel point notre rapport à l’amour, enfant, a-t-il une répercussion sur notre représentation de ce dernier tout au long de notre vie ? Et peut-on réellement se nourrir des expériences de notre lignée ?

Dans cet épisode un peu spécial, nous avons voulu vous plonger dans trois histoires, toutes douces. Trois histoires successives au sein d’une même famille : avec Irène la grand-mère qui rencontre son amour dans les années 1950, Anaëlle la petite fille qui n’est pas certaine de croire aux romances de contes de fée et Romy l’arrière petite-fille qui embrasse son chemin amoureux. Trois histoires de premier amour. 

Un épisode enregistré et tourné par Marie Salah, elle-même membre de cette famille de femmes. 

La musique a été composée par Charles de Cillia qui a également remixé le générique de November Ultra. La réalisation est de Lucile Aussel et le mix de Jean-Baptiste Aubonnet. 

Maud Benakcha est la chargée de production de Passages. 

Cet épisode a également été rendu possible grâce à Maureen Wilson, responsable éditoriale, Marion Girard responsable de production, 
La retranscription de cet épisode est disponible ici.

La Famille Barré

Ce sont six voix que vous allez entendre. Les six voix d’une famille qui témoignent à l’unisson d’un silence imposé par le corps. L’histoire d’une famille soudée qui se réorganise autour de Sarah, 19 ans. Un matin, les premiers signes de ce qui semble être une gastro apparaissent. Mais les jours avancent et ça ne passe pas. Jusqu’au moment où son sourire habituel se fige : la moitié de son visage est paralysé. A l’hôpital, la famille découvre un nom qui lui est inconnu : le syndrome de Guillain-Barré.

Comment communiquer lorsqu'on est muré dans le silence ? Comment ne pas s’oublier alors que l’on se consacre entièrement à la guérison, de soi ou de ceux·elleq qu’on aime ?  Et comment “faire” famille ?

Cet épisode a été tourné par Maud Benakcha, qui est également la chargée de production de Passages. Il a été monté par Amel Almia et c'est Jérôme Petit qui a composé la musique, fait la réalisation et le mixage.

Le générique de Passages a été composé par November Ultra.

Cet épisode est également rendu possible grâce à Maureen Wilson, responsable éditoriale de Louie Media, à Anaïs Dupuis, responsable de productions, Mélissa Bounoua, directrice des productions et Charlotte Pudlowski, directrice éditoriale.

Merci beaucoup à Océane et à Sophie pour leurs témoignages qui ont aidé à la bonne compréhension de l’histoire et à la création de cet épisode. 

Pour pouvez lire dès à présent la retranscription de cet épisode.

Comment Alice Guy a été effacée de l’histoire du cinéma (6/6)

Tout cet été, pendant la pause estivale de Passages, nous voulions vous faire découvrir notre podcast Une Autre Histoire. Six épisodes consacrés à la vie d’Alice Guy, première femme réalisatrice de l’histoire. Une vie rocambolesque qui raconte en creux, la naissance du cinéma. 

Dans ce sixième et dernier épisode, nous sommes en 1920. Trompée, divorcée, ruinée, Alice quitte les Etats Unis et débarque à Paris ses deux enfants sous le bras. L’Europe entre dans les années folles. La fin de la guerre  insuffle à l’époque un goût pour le mouvement, la vitesse, le jazz. Tout s’accélère et change à une allure insensée.

Alice a été complètement oubliée. Elle frappe aux portes du cinéma français pour trouver un travail. Toutes se ferment. Et quand on lui offre la possibilité de diriger des studios, c’est à condition qu’elle  investisse des sommes importantes. Mais elle n’a plus rien…

La gloire a-t-elle un prix ?

Comment Alice Guy a vu naître Hollywood (5/6)

Tout cet été, pendant la pause estivale de Passages, nous voulions vous faire découvrir notre podcast Une Autre Histoire. Six épisodes consacrés à la vie d’Alice Guy, première femme réalisatrice de l’histoire. Une vie rocambolesque qui raconte en creux, la naissance du cinéma. 

Dans ce cinquième épisode, Alice Guy a 38 ans. Elle est enceinte de son deuxième enfant lorsqu’elle installe, à Fort-Lee, dans la banlieue de New York, ses nouveaux studios, pas loin de ceux de Carl Laemmle, futur fondateur d’Universal et ceux d’Adolphe Zukor, futur patron de la Paramount. 

Alice a des ambitions artistiques et elle veut garder l’indépendance de la Solax.  Mais peut-on vraiment être libre dans un monde qui porte en germe les futurs et hégémoniques studios d’Hollywood ?

Comment le cinéma français s’est exporté en Amérique (4/6)

Tout cet été, pendant la pause estivale de Passages, nous voulions vous faire découvrir notre podcast Une Autre Histoire. Six épisodes consacrés à la vie d’Alice Guy, première femme réalisatrice de l’histoire. Une vie rocambolesque qui raconte en creux, la naissance du cinéma. 
Dans ce quatrième épisode, nous nous plongeons dans le rêve américain. L’épisode débute en 1907. Il est quatre heures du matin. Sur son paquebot, en pleine traversée de l’Atlantique, Alice Guy ne pourrait pas dire quel jour on est tant cette traversée lui semble interminable. Elle a le mal de mer, elle sort sur le pont du paquebot. Une nuit sans lune, une brume épaisse. Mais on distingue enfin des lumières au loin : des gratte-ciel et bientôt la statue de la liberté.

Comment le cinéma est devenu parlant (3/6)

Tout cet été, pendant la pause estivale de Passages, nous voulions vous faire découvrir notre podcast Une Autre Histoire. Six épisodes consacrés à la vie d’Alice Guy, première femme réalisatrice de l’histoire. Une vie rocambolesque qui raconte en creux, la naissance du cinéma. 
« Attendez un peu, vous n’avez encore rien entendu ! » Dans ce troisième épisode, nous suivons à quel point la vie d’Alice Guy va être bouleversée par l’arrivée du son au cinéma.

Comment le cinéma est devenu une industrie (2/6)

Tout cet été, pendant la pause estivale de Passages, nous voulions vous faire découvrir notre podcast Une Autre Histoire. Six épisodes consacrés à la vie d’Alice Guy, première femme réalisatrice de l’histoire. Une vie rocambolesque qui raconte en creux, la naissance du cinéma. 

Dans ce deuxième épisode, Alice Guy vient de tourner le premier film de fiction de l’histoire, La fée aux choux. Le cinéma est une terre en friche. Aucune règle n’a été écrite, tout est à inventer.

Comment avoir un sens du cinéma, quand il n’y a pas encore de cinéma ? Comment avoir un sens de quelque chose quand on ne sait pas ce que c’est ?